L'assurance récolte dite universelle est presque finalisée. Comme le craignait la Confédération paysanne depuis le début, elle n'a d'universelle que le nom. Un bon nombre de productions restent hors du champ assurantiel et la solidarité nationale pour les sinistrés s'exercera à deux vitesses selon que l'on soit assuré ou non. Difficile d'imaginer une autre issue quand l'État et les assureurs posent leurs conditions budgétaires d'entrée de jeu laissant les paysannes et les paysans comme ...
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